Maxime Mokom : An ICC victim. Une victime de la CPI.

French follows: Maxime Mokom spent 19 months in jail in The Hague, Netherlands, because of mistakes of the International Criminal Court, the "ICC". He was arrested in Chad and taken away from his family and friends, before being released from detention after the Prosecutor of the ICC finally came to his senses and realized the case file was only full of worthless, fabricated evidence from the Central African Republic. After his release, Maxime spent 43 days in a situation amounting to house arrest due to the negligence by the Registry and was further abandoned on the street by the Court. The Prosecutor and the Registry now refuse not only to admit their mistakes, but also to compensate him for the harm and prejudiced suffered. Maxime is now exiled with no legal status and has no resources to provide for himself or his family. He also needs help to pay the lawyer trying to regulate his situation. Assisting Maxime is assisting the ICC fulfill its role, not only to convicted persons, but also to those who are the victims of a miscarriage of justice.

Maxime Mokom a passé 19 mois en prison à La Haye, aux Pays-Bas, en raison d’erreurs de la Cour pénale internationale, la "CPI". Il a été arrêté au Tchad et séparé de sa famille et de ses proches, avant d’être relâché du centre de détention, après que le Procureur réalise finalement que son dossier contre Maxime ne valait absolument rien, et n’était que pure fabrication provenant de la République Centrafricaine. Après sa libération, Maxime a passé 43 jours dans une forme d'assignation à domicile en raison de la négligence du greffe, avant d'être jeté à la rue par la Cour. Le Procureur et le greffe refusent maintenant non seulement de reconnaître leurs erreurs, mais également d’offrir la moindre compensation à Maxime pour le préjudice subi. Maxime est maintenant sans papier et sans ressources pour s’occuper de sa famille. Il a aussi besoin d’aide pour payer l’avocat qui l’aide à régulariser sa situation. Aider Maxime, c’est aider la CPI à remplir son rôle, non seulement envers les personnes condamnées, mais également envers les personnes relâchées suite à des erreurs judiciaires.