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Frais de justice pour C.

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[TW: violences conjugales, violences physiques sur enfant et violences incestueuses, violences institutionnelles] Mise à jour Mars 2024

***Cynthia et J. ont besoin de nos soutiens et de notre solidarité !***


Depuis 7 ans, Cynthia, mère de J. se bat pour obtenir une réponse positive et rationnelle du système judiciaire face aux dysfonctionnements auxquels elle a dû faire face et surtout pour protéger son enfant de son présumé agresseur et mis en cause dans une instruction pénale pour violences et viol incestueux avec un rapport UMJ - Unité médico-judiciaire- ( ecchymoses au torse et fissure anale) et avec ITT ( Interruption temporaire de travail) délivrés sous réquisition de police, deux auditions auprès de la brigade des mineurs où l'enfant désigne une personne : son père.

Nous membres du comité, tenons à saluer les médias et certains collectifs associatifs qui ont diffusé son histoire sur leurs plateformes.

Depuis fin 2022, le comité s'est crée autour de cette maman pour l'accompagner tout au long de cette épreuve. Maintenant, outre nos soutiens, notre empathie collective, elle a besoin de notre soutien financier pour faire face aux dépenses judiciaires devenues des violences économiques.

Cynthia, est une mère protectrice de plus en attente de justice pour son enfant! Le 19 janvier 2024, les rapporteurs spéciaux de l'ONU exhortait une prise de conscience de la France sur les déviances de notre système judiciaire en matière de protection des enfants et des mères.

La Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - CIIVISE- a démontré les insuffisances des systèmes policier, judiciaire, et de l'aide sociale à l'enfance pour soutenir et aider les victimes de violences principalement les enfants. Evoquant un déni sociétal.

En matière de violences et de violences sexuelles, la présomption d'innocence ne peut être opposée aux victimes de violences et à leur protection.

Comme dans bien d'autres affaires révélées dans cette ère de la libération de la parole (#metoo), dès lors que l'enfant révèle les faits de violences souvent et majoritairement à sa mère comme le Juge Edouard Durand ancien co-président de la CIIVISE l'exprime dans son dernier ouvrage "160 000 enfants , violences sexuelles et déni social" :

"On les soupçonne de mentir, d'exagérer ou on accuse la mère, et tout autre adulte protecteur de mentir, de manipuler. C'est l'effet du déni, ancien massif, structurant même."

C'est ainsi que la mère "perdra tout, l'enfant lui sera enlevé pour être confié à une maison d'enfants ou une famille d'accueil et même au père. Cette mère sera condamnée pour non représentation d'enfant si elle refuse de l'obliger à aller voir son père, elle sera peut être même emprisonnée."

C'est effectivement le parcours de Cynthia et de son jeune enfant. C'est ainsi qu'elle a malheureusement perdu la garde de son fils. Après un placement qui aura duré 541 jours, J. est retourné chez son père depuis les fêtes de noël 2023, en pleine instruction pénale.

Les juges civils ayant ignorés le volet pénal (malgré une communication du juge d'instruction) et préférant s'appuyer sur les écrits spécieux de l'ASE.

Toutes les prérogatives y compris de la CEDH (Commission Européenne des Droits de l'Homme) et circulaires dont celle du 28 mars 2023 où le Garde des Sceaux fixe: "les violences à caractère sexuel ou les violences commises dans un cadre intrafamiliale ayant entrainé une incapacité totale de travail appellent une réponse pénale ferme. La voie du déferrement est privilégiée, dès lors que la nécessité d'éloigner rapidement le mis en cause de l'environnement du mineur ou d'éviter qu'il ne soit en contact habituel avec des mineurs résulte de la procédure" , semblent occultées.

Nous ne pouvons que nous interroger sur ce qui semble manifestement un déni dont les retentissements sont en cours.

"Le déni a un corollaire immédiat, l’impunité des agresseurs. Le déni collectif et l’impunité des agresseurs marchent main dans la main, tranquillement, avec assurance, sans inquiétude. Main dans la main. Comme si de rien n’était", Juge Edouard Durand

Dans cette lutte, Cynthia a utilisé ses ressources émotionnelles, physiques et financières. Pour faire face aujourd'hui aux nombreuses procédures judiciaires encore en cours; elle a besoin de notre aide pour payer les frais des nouveaux avocats afin de poursuivre pour le retour de son fils et une réponse positive des procédures.

Cette cagnotte a été lancée fin 2022 par un collectif qui s'est créé spontanément en soutien à Cynthia et J. face à la violence et l'injustice énormes qu'ils subissent tous les deux. Les dons récoltés et nous remercions les donateurs et donatrices ont déjà servis dans les frais judiciaires, paiements des timbres d'actes, les frais de déplacements puisque J. durant son placement a été exilé en province, contraignant sa mère de manière hebdomadaire à se déplacer 4 heures aller et retour à ses frais.
Dans cette situation, toute aide pour soutenir est précieuse !

Merci beaucoup pour votre/ vos soutien(s) et vos partages ! Il n'y a pas de petite contribution mais uniquement des grands actes du coeur.

Pour en apprendre davantage sur @justicepourcj via les parutions presses et les avancées sur nos réseaux : Cliquez ici


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