Donation protected
Bonjour, je m'appelle nadege j'ai 41 ans et mon conjoint Sébastien 40 ans .
Nous avons perdu notre petit garçon Evan 21 mois à cause d'une maladie rare et grave la maladie de SHONE : Malformation cardiaque congénitale non syndromique rare caractérisée par un développement insuffisant des structures cardiaques gauches (dont le ventricule gauche, l'aorte ascendante, la crosse aortique et la valve aortique et/ou mitrale), empêchant le coeur gauche de fournir un débit cardiaque suffisant.
Fin février l'année dernière on est allé au médecin car il avais des plaques rouges sur tout le corps le médecin nous a envoyé aux urgences car il fallait faire une prise de sang car eux ne le font pas . C'était de L'urticaire au final .ont y étais pendant 6 h car un médecin me demande si il a des problèmes de cœur je lui dis non pas que je sache , il me dis ah c'est bizarre il y a un gros sifflements ont va faire une échographie. L a ont me dis que il y a une malformation des valves et qu'il faudra qu'il soit opéré, une opération courante.
2 semaine après il ce fait opérer 7h d'opération plus 3 h le temps de l'installation est la stabilisation.
Ont ne tenais plus en place.
Et la ils nous annonce la mauvaise nouvelle et que sans cette opération il lui restait même pas un mois à vivre.
Ont étais sous le choc.
Puis ils nous disent qu'il est branché à plusieurs machine pour respirer, pour remplacé son cœur .
Qu'il est entre la vie est la mort que c'est à lui de ce battre pour rester en vie .
Il c'est battu 15 jours un vrai petit guerrier . Mais au bout de ses 15 jours ils ont enlevé la machine pour le coeur mais malheureusement son cœur tous seul narrivé pas à continuer de battre qu'il allait nous quitter .
Ils nous disent qu'il vont le refermé, le prépare pour quon puisse lui dire adieu qu'on laime qu'on l'aimera pour toujours quil sera toujours avec nous même pas 5 min après il sont revenu pour nous dire que c'était fini . Ont a même pas pue lui dire tous ca même pas un bisou ou le prendre dans nos bras quand il était encore en vie . C'est la pire journée de notre vie . Je pense pas m'en remettre un jours.
Ne plus être parents du jours au lendemain est juste horrible la maison, nôtre vie et si vide si silencieuse. On voudrait tellement revivre ce bonheur d'être parents.
Mais on nous à dis que c'est pas possible naturellement.
Donc j'ai voulu faire une FIV et la encore ont ma dis non insuffisance ovarienne , j'ai que un follicule est les overs atrophié et un kyste .
Ont ma dis par don d'ovocytes c'est possible que j'ai toute mes chance car mon Utérus va très bien
Sauf qu'en France il y a un délais de 2 ans .
une prise en charge jusqu'à 42 ans . Donc je dépasse le délai, pas de prise en charge .
Ils nous ont dis d' allé en Belgique ou beaucoup de femmes aujourd'hui le font est ils réussi à avoir un bébé.
Mais c'est très très cher .
Je suis hôtesse de caisse, mon conjoint a une sclérose en.plaque.
Dans cette période difficile. Pour ce faire, nous avons créé cette cagnotte afin de nous aidez dans ce combat pour redevenir parents.
Merci de votre générosité et de votre participation à cette belle aventure.
N'hésitez pas à partager cette cagnotte autour de vous.
L'obsession de ces femmes de vouloir un autre enfant quand un bébé ou un enfant décède.
Non, ce n’est pas une obsession.
C’est un cri. Un appel muet que peu entendent.
Ce n’est pas une envie capricieuse, c’est une tentative de survie.
Ce n’est pas un oubli, c’est une continuité.
Ce n’est pas fuir la douleur, c’est chercher à lui donner un sens.
Pour moi, ces femmes ne veulent pas "remplacer".
Elles veulent retrouver un ancrage, un souffle, une pulsation.
Elles veulent ressentir dans leur chair ce que la mort leur a arraché trop tôt.
Elles veulent exister en tant que mères autrement que dans le silence, les souvenirs et les larmes.
Elles veulent avoir un rôle à temps plein, pas seulement dans le cœur, mais aussi dans les bras.
Et non, il ne faut pas les juger.
Car même si vous croyez comprendre, vous ne vivez pas avec ce vide qui se réveille chaque matin.
Vous ne savez pas ce que c’est que d’avoir un berceau vide et un ventre qui crie encore la vie.
Vous ne savez pas ce que c’est que de survivre à la maternité sans enfant à materner.
Vous ne savez pas ce que ça fait de vivre entre ciel et terre.
Ces femmes portent le deuil et le courage à parts égales.
Elles espèrent, oui, mais avec des cicatrices.
Elles avancent, mais jamais sans mémoire.
Elles ne cherchent pas un nouveau bébé pour combler, mais pour reconstruire.
Alors la prochaine fois que vous voyez une femme endeuillée qui rêve d’un autre enfant,
rappelez-vous :
ce n’est pas une obsession.
C’est le dernier fil entre la perte… et l’espoir.
C’est une renaissance qui ne demande qu’à naître doucement, à son rythme, sans jugement.
C’nosanges.
Organizer

Nadege Martin
Organizer
Grandfontaine, C1