
Cure de désintoxication en Thailande
Donation protected
https://siamrehab.com/
Cette campagne,
est pour mon fils qui est devenu itinérant en partie à cause de psychoses induites par les drogues ce qui a aboutit à des problèmes de santé mentale et comportementaux.
Mes tentatives au Québec n'ont pas fonctionné.
EN PSYCHIATRIE on peut obliger quelqu'un de se faire interner dans un hôpital psychiatrique à condition qu'il soit un danger pour sa vie ou celle des autres, sinon les policiers et médecins sont restreints dans leur autorité et interventions même si la personne est en psychose.
EN JUSTICE on ne peut pas imposer à un itinérant ayant des problèmes de consommation et de santé mentale une ordonnance en cure de désintoxication contre son gré.
C'est un cercle vicieux car la cause de l'itinérance et de la santé mentale est grandissante au Québec. On attend souvent que les personnes en itinérance arrivent à un point de non retour, commettent des délits, avant de les criminaliser.
Lorsque mon fils se fait arrêter lorsqu'il est en psychose induite par les drogues et que les policiers n'ont jamais assez de motifs pour le ramener à l'hôpital (P38), on lui assigne des contraventions faramineuses et à répétitions. La plupart du temps il ne s'en souvient même pas et il ne peut pas payer ce qui se terminera par la prison éventuellement.
Si on procède à des ordonnances de cour pour qu'il soit soigné,
il ressort de l'hôpital au bout de quelques jours, s'il n'est pas dangereux pour lui-même ou pour les autres. Il n'est pas complètement remis de sa psychose mais stabilisé appelé dans leur terme(P38), donc il peut ressortir car les hôpitaux psychiatriques débordent.
UNE IMAGE VAUT MILLE MOTS.


On lui donne des injections pour le neutraliser pour un mois mais le cocktail avec les drogues ne semble pas faire bon ménage et ceci ne semble pas pris en considération. Depuis qu'il a arrêté ses injections ses idées sont beaucoup plus claires, car de toute évidence les deux n'étaient pas une très bonne combinaison. Son diagnostic est ou a été probablement faussé par les psychoses induites par les drogues.
Douglas est un hôpital en santé mentale et n'a aucune compétence en toxicomanie. On refuse de transférer son dossier au Chum (UPT CHUM) unité de psychiatrie et toxicomanie qui soigne les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale induite par les drogues ainsi que les problèmes d'itinérance. (petites guerres extra-territoriales entre hôpitaux) sous prétexte que ce ne soit pas la volonté de mon fils, alors qu'il avait déjà signé son consentement pour une évaluation au chum.
Cette bataille est épuisante et je tourne en rond pendant ce temps la santé de mon fils se détériore.
Depuis 5 mois il n'a pas vu aucun psychiatre . Les policiers ont les mains liées avec la loi et doivent attendent qu'il fasse un acte irrémédiable pour pouvoir faire quelque chose. Je ne veux attendre jusqu'à ce que mon fils soit derrière les barreaux. Il doit sortir de ce cercle vicieux avant qu'il ne soit trop tard. Il a encore son intelligence malgré sa dépendance et doit maintenir un avenir et espoir devant lui.
RIEN NE FONCTIONNE ICI , IL RESTE DANS SON ENVIRONNEMENT MALSAIN ET A PERDU TOTALEMENT ESPOIR . IL A CHANGÉ ÉNORMÉMENT À CAUSE DU CRAK QUI EST TRÈS ADDICTIF.
Je sais que nous avons des soins ici, mais dans son cas ça ne fonctionne pas. Je crois qu'un changement de vie et de culture pourrait sauver l'avenir de mon fils. Il a 28 ans , il aimerait travailler mais se confronte à l'échec continuellement parce qu'il n'arrive pas à surmonter ses problèmes et il a besoin de sortir de cet environnement malsain et se refaire à nouveau, loin de tout.
J'ai vraiment tout essayé, mais malheureusement je suis monoparentale et je suis devenue impuissante face à la situation.
Je ne veux pas baisser les bras car j'aime mon fils unique et je garde toujours espoir. Selon mes recherches, la réussite de cette cure dans ce contexte de vie et de médecins traitants aguerries a un taux de réussite très élevé. Cette cure à l'étranger est géré par un canadien et une équipe de professionnels. Cette cure est hors de prix et pour le moment je ne peux pas la lui offrir. Voir le site Siamrehab.com
La situation de mon fils se détériore rapidement et ses mauvaises habitudes de la rue sont entrain de faire de lui un individu qui se criminalise, ce qui n'était pas à la base, mais la drogue fait ces ravages. Je crois que la seule chose qui pourrait fonctionner dans son cas, c'est qu'il parte pour 2 à 3 mois très loin de tout pour lui permettre de se rétablir et travailler son estime de soi. Cette campagne est urgente pour le sortir de cette situation avant que quelque chose d'irrémédiable se produise.
Je demande votre aide dans cette cause que j'espère de tout coeur
aidera un jeune homme de s'en sortir dans la vie.
UNE RÉUSSITE POUR LUI EST UNE RÉUSSITE POUR NOUS TOUS.
Cette campagne,
est pour mon fils qui est devenu itinérant en partie à cause de psychoses induites par les drogues ce qui a aboutit à des problèmes de santé mentale et comportementaux.
Mes tentatives au Québec n'ont pas fonctionné.
EN PSYCHIATRIE on peut obliger quelqu'un de se faire interner dans un hôpital psychiatrique à condition qu'il soit un danger pour sa vie ou celle des autres, sinon les policiers et médecins sont restreints dans leur autorité et interventions même si la personne est en psychose.
EN JUSTICE on ne peut pas imposer à un itinérant ayant des problèmes de consommation et de santé mentale une ordonnance en cure de désintoxication contre son gré.
C'est un cercle vicieux car la cause de l'itinérance et de la santé mentale est grandissante au Québec. On attend souvent que les personnes en itinérance arrivent à un point de non retour, commettent des délits, avant de les criminaliser.
Lorsque mon fils se fait arrêter lorsqu'il est en psychose induite par les drogues et que les policiers n'ont jamais assez de motifs pour le ramener à l'hôpital (P38), on lui assigne des contraventions faramineuses et à répétitions. La plupart du temps il ne s'en souvient même pas et il ne peut pas payer ce qui se terminera par la prison éventuellement.
Si on procède à des ordonnances de cour pour qu'il soit soigné,
il ressort de l'hôpital au bout de quelques jours, s'il n'est pas dangereux pour lui-même ou pour les autres. Il n'est pas complètement remis de sa psychose mais stabilisé appelé dans leur terme(P38), donc il peut ressortir car les hôpitaux psychiatriques débordent.
UNE IMAGE VAUT MILLE MOTS.


On lui donne des injections pour le neutraliser pour un mois mais le cocktail avec les drogues ne semble pas faire bon ménage et ceci ne semble pas pris en considération. Depuis qu'il a arrêté ses injections ses idées sont beaucoup plus claires, car de toute évidence les deux n'étaient pas une très bonne combinaison. Son diagnostic est ou a été probablement faussé par les psychoses induites par les drogues.
Douglas est un hôpital en santé mentale et n'a aucune compétence en toxicomanie. On refuse de transférer son dossier au Chum (UPT CHUM) unité de psychiatrie et toxicomanie qui soigne les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale induite par les drogues ainsi que les problèmes d'itinérance. (petites guerres extra-territoriales entre hôpitaux) sous prétexte que ce ne soit pas la volonté de mon fils, alors qu'il avait déjà signé son consentement pour une évaluation au chum.
Cette bataille est épuisante et je tourne en rond pendant ce temps la santé de mon fils se détériore.
Depuis 5 mois il n'a pas vu aucun psychiatre . Les policiers ont les mains liées avec la loi et doivent attendent qu'il fasse un acte irrémédiable pour pouvoir faire quelque chose. Je ne veux attendre jusqu'à ce que mon fils soit derrière les barreaux. Il doit sortir de ce cercle vicieux avant qu'il ne soit trop tard. Il a encore son intelligence malgré sa dépendance et doit maintenir un avenir et espoir devant lui.
RIEN NE FONCTIONNE ICI , IL RESTE DANS SON ENVIRONNEMENT MALSAIN ET A PERDU TOTALEMENT ESPOIR . IL A CHANGÉ ÉNORMÉMENT À CAUSE DU CRAK QUI EST TRÈS ADDICTIF.
Je sais que nous avons des soins ici, mais dans son cas ça ne fonctionne pas. Je crois qu'un changement de vie et de culture pourrait sauver l'avenir de mon fils. Il a 28 ans , il aimerait travailler mais se confronte à l'échec continuellement parce qu'il n'arrive pas à surmonter ses problèmes et il a besoin de sortir de cet environnement malsain et se refaire à nouveau, loin de tout.
J'ai vraiment tout essayé, mais malheureusement je suis monoparentale et je suis devenue impuissante face à la situation.
Je ne veux pas baisser les bras car j'aime mon fils unique et je garde toujours espoir. Selon mes recherches, la réussite de cette cure dans ce contexte de vie et de médecins traitants aguerries a un taux de réussite très élevé. Cette cure à l'étranger est géré par un canadien et une équipe de professionnels. Cette cure est hors de prix et pour le moment je ne peux pas la lui offrir. Voir le site Siamrehab.com
La situation de mon fils se détériore rapidement et ses mauvaises habitudes de la rue sont entrain de faire de lui un individu qui se criminalise, ce qui n'était pas à la base, mais la drogue fait ces ravages. Je crois que la seule chose qui pourrait fonctionner dans son cas, c'est qu'il parte pour 2 à 3 mois très loin de tout pour lui permettre de se rétablir et travailler son estime de soi. Cette campagne est urgente pour le sortir de cette situation avant que quelque chose d'irrémédiable se produise.
Je demande votre aide dans cette cause que j'espère de tout coeur
aidera un jeune homme de s'en sortir dans la vie.
UNE RÉUSSITE POUR LUI EST UNE RÉUSSITE POUR NOUS TOUS.
Organizer
Manon Latulippe
Organizer