Y'a du monde aux Balkans
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L’UE, une institution en pleine construction
L’Union européenne, c’est aujourd’hui 28 pays, 24 langues officielles, la 3ème région la plus peuplée du globe (508 millions d’habitants) et l’une des 3 principales régions économiques mondiales (14 600 milliards d'euros de PIB en 2015). Une organisation historique et inédite encore en construction mais dont l’un des buts premiers - la paix - est assuré depuis 70 ans.
L’Union européenne, au-delà de ces données factuelles, est aussi une institution qui se cherche, et dont l’identité peine à s’inscrire durablement dans les esprits. Le Brexit, la menace d’un Frexit et la montée de partis eurosceptiques comme en Autriche ou en Italie en sont de parfaites illustrations.
Les Balkans, aux portes de l’Union
Mais si l’on connaît facilement l’actualité des pays qui nous entourent, on a tendance à ignorer ce que nos voisins des Balkans pensent de l’Union européenne. Beaucoup des pays de la région jouissent d’une mauvaise réputation, héritée de l’éclatement de la Yougoslavie. Pour autant, leur situation a bien changé depuis vingt ans : certains d’entre eux sont déjà membres, alors que d’autres sont candidats officiels et devraient adhérer à l’Union d’ici une dizaine d’années.
Quelle est leur vision de l’Union européenne ? Qu’est-ce que leur adhésion a changé, ou changera dans leur vie quotidienne ? Quelles sont leurs attentes ? Pourquoi veulent-ils, ou non, entrer / rester dans l’UE ?
Nous allons parcourir la région pendant un mois : nous avons choisi 12 villes dans 9 pays. Nous élargissons la zone des Balkans à l’Autriche et la Hongrie car des gouvernements eurosceptiques - voire europhobes - sont actuellement au pouvoir : nous souhaitons découvrir les raisons profondes du rejet du projet européen par la population.
Une enquête d’opinion pour décrire les tendances
Dans un premier temps, nous entreprendrons une enquête d’opinion. Nous administrerons un questionnaire aux habitants afin d’obtenir des réponses quantitatives sur leurs ressentis sur l’Union européenne. Cette phase comprend deux parties : tout d’abord, nous poserons des questions générales sur l’UE afin de pouvoir effectuer des comparaisons internationales entre les pays sondés. Nous adapterons ensuite nos questions à la situation politique et économique de chaque Etat afin de comprendre en profondeur les spécificités nationales.
Pour éviter un potentiel biais et pour maximiser le taux de réponse, nous traduirons les questionnaires en huit langues différentes.
Un reportage vidéo pour approfondir nos connaissances
Dans un second temps, nous réaliserons un reportage vidéo. Nous entreprendrons d’interviewer des habitants tout au long de notre enquête : en posant des questions plus ouvertes et en rebondissant sur leurs réponses, nous souhaitons comprendre davantage leur chemin de pensée et en apprendre plus sur leur point de vue.
Les images nous permettront également de transmettre au mieux l'atmosphère des villes où nous nous rendons.
We need your help
Nous allons parcourir 3 255 km en 32 jours, questionner des centaines de personnes, poser plus de 4 500 questions et tourner près de 15h de vidéo.
Cela représente des coûts considérables, notamment en transports (930€), en mobilité une fois sur place (350€) - car ce n’est à Paris que l’on sonde la France -, en logement (720€) et en matériel (240€). Nous avons ainsi besoin de 2 240€.
Pour vous remercier, chaque don sera accompagné d’un cadeau (cumulable !) :
Merci pour votre soutien !
Juliette & Yacine
L’Union européenne, c’est aujourd’hui 28 pays, 24 langues officielles, la 3ème région la plus peuplée du globe (508 millions d’habitants) et l’une des 3 principales régions économiques mondiales (14 600 milliards d'euros de PIB en 2015). Une organisation historique et inédite encore en construction mais dont l’un des buts premiers - la paix - est assuré depuis 70 ans.
L’Union européenne, au-delà de ces données factuelles, est aussi une institution qui se cherche, et dont l’identité peine à s’inscrire durablement dans les esprits. Le Brexit, la menace d’un Frexit et la montée de partis eurosceptiques comme en Autriche ou en Italie en sont de parfaites illustrations.
Les Balkans, aux portes de l’Union
Mais si l’on connaît facilement l’actualité des pays qui nous entourent, on a tendance à ignorer ce que nos voisins des Balkans pensent de l’Union européenne. Beaucoup des pays de la région jouissent d’une mauvaise réputation, héritée de l’éclatement de la Yougoslavie. Pour autant, leur situation a bien changé depuis vingt ans : certains d’entre eux sont déjà membres, alors que d’autres sont candidats officiels et devraient adhérer à l’Union d’ici une dizaine d’années.
Quelle est leur vision de l’Union européenne ? Qu’est-ce que leur adhésion a changé, ou changera dans leur vie quotidienne ? Quelles sont leurs attentes ? Pourquoi veulent-ils, ou non, entrer / rester dans l’UE ?
Nous allons parcourir la région pendant un mois : nous avons choisi 12 villes dans 9 pays. Nous élargissons la zone des Balkans à l’Autriche et la Hongrie car des gouvernements eurosceptiques - voire europhobes - sont actuellement au pouvoir : nous souhaitons découvrir les raisons profondes du rejet du projet européen par la population.
Une enquête d’opinion pour décrire les tendances
Dans un premier temps, nous entreprendrons une enquête d’opinion. Nous administrerons un questionnaire aux habitants afin d’obtenir des réponses quantitatives sur leurs ressentis sur l’Union européenne. Cette phase comprend deux parties : tout d’abord, nous poserons des questions générales sur l’UE afin de pouvoir effectuer des comparaisons internationales entre les pays sondés. Nous adapterons ensuite nos questions à la situation politique et économique de chaque Etat afin de comprendre en profondeur les spécificités nationales.
Pour éviter un potentiel biais et pour maximiser le taux de réponse, nous traduirons les questionnaires en huit langues différentes.
Un reportage vidéo pour approfondir nos connaissances
Dans un second temps, nous réaliserons un reportage vidéo. Nous entreprendrons d’interviewer des habitants tout au long de notre enquête : en posant des questions plus ouvertes et en rebondissant sur leurs réponses, nous souhaitons comprendre davantage leur chemin de pensée et en apprendre plus sur leur point de vue.
Les images nous permettront également de transmettre au mieux l'atmosphère des villes où nous nous rendons.
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Cela représente des coûts considérables, notamment en transports (930€), en mobilité une fois sur place (350€) - car ce n’est à Paris que l’on sonde la France -, en logement (720€) et en matériel (240€). Nous avons ainsi besoin de 2 240€.
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Juliette & Yacine
Organizer
Yacine Aml
Organizer
Paris
