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Aider un papa formidable à reprendre le dessus

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Bonjour à tous ceux et celles qui me liront. Je ne peux me présenter réellement pour éviter que ce qui vous sera raconté puisse identifier formellement les personnes impliquées.

 Le but est de faire circuler notre histoire, de faire voir un côté souvent moins connu de la violence conjugale (envers les hommes), des difficultés pour eux de prendre leur place aux côtés de leurs enfants lors d'une séparation difficile et tout le mal que cela implique pour les enfants et le papa, lorsque l’agresseur est maître en manipulation.

 L’argent ramassé servira à éponger un peu de dettes d’avocats qui s’élèvent à plus de 50 000$ pour le moment. Mon conjoint a dû s’endetter, effectuer des prêts et devra payer des frais pour les 30 prochaines années. Il ne voit pas le bout, il trouve ça difficile et s’en veut de nous faire vivre ça. Nous sommes une famille recomposée de 4 enfants (il a eu 2 enfants avec madame et 2 avec moi). Il pense souvent que nous ne pourrons jamais passer par-dessus tout ça et que financièrement, nous ne pourrons jamais nous en sortir. Nous avons de bons salaires tous les deux, mais les frais et dettes à payer (autres que les dettes normales : maison, auto et vie de tous les jours) sont un poids faramineux qui nous empêche de pouvoir avancer. Ça lui fait de la peine et j’aimerais, avec cette collecte, lui permettre de souffler un peu ou encore de nous permettre de rénover la maison. Il y a de grosses réparations à faire, mais nous ne pouvons pas emprunter puisque nous l’avons déjà fait pour les frais d’avocat. Je souhaite qu'il sache qu'il est une personne importante, magnifique, qu'il n'est en aucun cas un « bon à rien », qu’il ne nuit pas à notre bonheur. Bien au contraire, c’est le pilier de notre famille et un homme merveilleux.

 Je vais tenter de vous résumer cette histoire sans fin...

 Je sais d’avance que vous allez vous dire qu’il y a toujours deux côtés à une médaille, j’ai moi-même pensé de cette façon au début, quand les faits m’ont été présentés. Je me suis dit : « ça se passe mal, on beurre un peu, madame n'est pas contente de s’être fait laisser, son égo en a pris un coup, elle va finir par se calmer, ça ne doit pas être si pire que ça...». Eh bien, j'avais tort. Ça fait maintenant plus de 5 ans que je suis présente et témoin de TOUT; et, au contraire, il avait été gentil dans sa description du problème et de la méchanceté de cette personne.

 Il est important de noter que durant leur relation, plusieurs efforts ont été effectués pour régler le problème : médiation, psychothérapie, thérapie de couple... Mais rien n'a pu l'aider.

 La relation a commencé dû à la grossesse de madame. Monsieur avait acquis une maison qu’il devait rénover et louer. Suite à l’annonce de cette grossesse surprise (madame lui avait dit être stérile…), il prend ses responsabilités. Venant d’un milieu très familial et aimant, il souhaite donner la même chose à son enfant. Ils ont donc emménagé dans la maison pendant la grossesse.

 Madame était toujours aux études et ne travaillait pas. Tout ce que monsieur lui demandait était de prendre ses prêts et bourses pour payer ses effets personnels et ses cours et de son côté, il assumait toutes les dépenses relatives à la maison et aux enfants (elle a eu un 2e enfant peu de temps après le premier). Durant leur relation, madame tenait absolument à être la personne qui gère les finances du couple. Elle lui a imposé d’avoir accès à tous ses comptes bancaires et l’a même convaincu de lui procurer une carte de crédit, mais avec principal détenteur : mon conjoint. Vous allez me dire « Oui, mais il a accepté et a signé pour tout ça; il a un peu cherché le trouble. ». Oui, moi aussi j’étais sceptique à tout ça, mais je vais vous expliquer un peu plus loin les techniques de madame pour obtenir ce qu'elle veut.

 Dans les aspects de la violence conjugale, il y a l'aspect économique.

 1. Lorsqu’ils se sont séparés, madame a rempli la carte de crédit qui lui avait été laissée par entente avec la médiatrice pour la pension des enfants en attendant d’avoir un jugement. Elle a fait des dépenses de plus de 6 000$ en 3 mois... Ce montant, qui dépasse largement celui auquel elle avait droit pour la pension, doit être payé par qui...? Bien évidemment, le détenteur principal de la carte...

 2. Pendant la relation, un conseiller financier leur avait suggéré une méthode pour faire un compte conjoint et payer les factures au prorata du salaire de mon conjoint versus le revenu de madame (prêts, bourses, allocations). Ex.: Mon conjoint mettait 800$ par mois, et elle, 200$ (montant fictif). Mon conjoint déposait son montant lorsqu'il voyait celui de madame déposé dans le compte; petit hic, il ne s’occupait pas de ce compte et ne regarde alors jamais plus loin (oui, je sais, il aurait dû). Une fois le montant de madame déposé, elle allait reprendre son dépôt pour le mettre Dieu sait où, et payer les factures seulement avec l’argent mis par monsieur.

 3. Il avait de l’argent comptant de côté que madame a décidé de prêter à son meilleur ami dans le besoin… Mon conjoint a été averti une fois l’argent parti et, à ce jour, n’a jamais revu cet argent…

 Vous voyez un peu le « pattern » de cette personne qui semble être à l’argent... Heureusement que mon conjoint a tenu son bout la fois où madame a pris rendez-vous chez le notaire pour faire mettre son nom sur la maison (qu’elle n’a jamais payée, ne l’oublions pas). Son justificatif? Elle avait investi dans la propriété en peinturant 2 ou 3 murs. C'est l'argument qu'elle a donné lorsqu'il fut le temps de plaider son cas pour tenter d’avoir un dédommagement. Heureusement qu'elle n'a rien reçu en dédommagement.

 En ce qui concerne l'aspect de la violence psychologique :

 1. Pour arriver à ses fins, madame va imposer des demandes et s’acharner sur la personne à qui elle fait la requête si elle n'est pas acceptée. Dans les faits, elle a empêché mon conjoint de dormir pendant des nuits et en le réveillant en plein milieu de son sommeil afin de débattre son point. Elle a joué à la victime en plaidant un manque d’amour ou un manque de respect. Elle l'a rabaissé à plusieurs reprises et ne lâchait pas le morceau jusqu'à ce qu'elle obtienne ce qu'elle voulait. Pour quelqu’un qui travaille plus de 12 heures par jour et qui se fait réveiller la nuit, qui se fait appeler lorsqu'il est en route pour le travail pour se faire crier dessus et se faire accuser de tous les torts, cela finit par le fait qu'il achète la paix en acceptant finalement ses requêtes.

 2. Elle n’aimait pas ses amis ni sa famille, et voulait l'en éloigner le plus possible. Encore une fois, madame prône qu’ils sont une équipe, qu’il doit la soutenir ELLE dans tout ce qu’elle dicte, qu'il doit être de son côté même si elle a tort et tout faire pour qu’elle soit bien.

3. Elle le harcelait lorsqu’il était avec sa famille et les enfants et qu’elle n’avait pas voulu l’accompagner. Ex.: Lorsqu’il était au chalet familial et qu'il lui écrivait pour l'avertir qu'il rentrerait un peu plus tard que prévu puisqu'ils passaient un bon moment, elle n’était pas d’accord. Elle lui envoyait plusieurs messages et le menaçait d’appeler la police pour vol de voiture (car il avait sa voiture) et pour enlèvement…

 4. Elle menaçait de lui faire tout perdre et de l'empêcher de voir ses enfants chaque fois qu’il voulait la quitter ou qu'il refusait ses demandes. Elle le menaçait de porter plainte contre lui pour violence conjugale, ou bien elle criait dans le but de réveiller les enfants et de courir à leur chevet lorsqu'ils pleuraient pour les consoler en leur disant que leur maman allait les protéger. Ensuite, elle allait retrouver mon conjoint, complètement en morceaux, en lui disant qu'elle l'aimait et que tout ce qu'elle faisait était pour leur bien et qu'ils étaient une équipe...!

 5. S’il voulait quitter le domicile pour se changer les idées lors d'une dispute, elle l’empêchait de sortir en se positionnant devant lui, en refusant de se tasser et en lui criant dessus. S'il voulait partir en voiture, elle prenait ses clés et les lançait dans les haies de cèdres…

 6. Elle disait constamment à son plus vieux qu’elle allait lui trouver un bon père et qu’il méritait mieux... Tout cela, devant mon conjoint.

 Ce ne sont que quelques exemples. Il a fallu longtemps avant qu’il ait assez confiance en lui pour tenir son bout et la laisser pour de bon. En la quittant, il croyait que les enfants n’auraient plus à subir ses colères et sa méchanceté envers lui et qu’ils seraient tranquilles.

 Dès que la relation fut terminée, les appels téléphoniques entre eux furent vite interdits sous les conseils de notre avocat, car elle inventait qu’il était agressif avec elle au téléphone. Mais j’ai été témoin de son petit jeu... Elle l’a appelé en ma présence (sans le savoir) et il n’a pas pu placer un seul mot sans qu'elle le traite de « moins que rien » et de mauvais père. Elle disait que les enfants seraient mieux sans lui et avant même qu’il puisse répliquer, elle terminait l'appel. Un message texte arrivait pratiquement au même moment dans lequel elle lui disait qu’elle n’acceptait pas de se faire parler ainsi, qu’il n’avait pas à lui crier dessus ou à la menacer! C’est à cet instant que je me suis posé de sérieuses questions sur l’état mental de cette personne et jusqu’où elle pouvait aller.

 Au début, le modèle de garde était statué à une fin de semaine sur deux. Par la suite, il a changé à deux fins de semaine sur trois. C'est de pire en pire; madame a le contrôle et refuse catégoriquement toute demande de la part de mon conjoint. Elle veut le faire passer pour une personne violente et va jusqu’à inventer plusieurs histoires pour se victimiser. Elle décide qu’il doit venir chercher les enfants dans un organisme du style « SOS jeunesse », où les enfants sont enfermés dans une salle et lui est dans une autre salle, avec une intervenante. On lui permet par la suite de prendre ses enfants. Quelle image ça renvoie aux enfants!

 Il est à noter qu’il n’y a jamais eu de plainte formelle pour violence conjugale contre lui ni même aucun événement qui peut être interprété en ce sens. Par contre, une accusation inventée de toute pièce engendre tout de même de lourdes conséquences et des dommages sur la personne faussement accusée.

 S’il avait fait le moindre geste envers elle, ça ferait longtemps qu’il aurait payé pour ses actions. Mais ce n'est pas le cas. Elle fait d'ailleurs régulièrement appel à la police pour des motifs ridicules et exagérés:

 • Comme une casquette ou des sacs d’école oubliés à la maison que mon conjoint est allé porter chez elle, mais elle ne voulait pas qu’il se présente sur sa propriété.

 • Parce que l’heure de fin de garde lors d'un grand week-end n’est pas inscrite au jugement et que madame décide que c’est son temps de garde. Elle débarque alors chez les grands-parents, en pleurs et en présence de policiers, plaignant s’être inquiétée, car elle ne savait pas où ils étaient (alors qu'elle était très bien au courant).

 • Parce que c'est notre fin de semaine de garde, mais elle veut tout de même avoir les enfants. Elle invente une interdiction de contact à l’école, fait enfermer les enfants dans une classe, appelle la police qui vient asseoir mon conjoint sur la chaîne de trottoir devant tout le monde pour que les enfants sortent à l'arrière et partent avec elle. Dans ce temps-là, elle dit aux enfants que leur père ne voulait pas les voir et que c’est pour cette raison qu'elle vient les chercher...

Chaque fois que nous expliquons les faits aux policiers, ils sont d’accord avec nous, mais nous réfèrent à notre avocat. Ils se doivent de faire respecter les modalités des droits d'accès et puisque madame a la garde des enfants, ils ne peuvent pas s'en mêler.

 Les enfants sont souvent témoins de tout ça, mais ne comprennent pas la situation.

 Nous demandons à plusieurs reprises de voir les enfants pour des occasions spéciales et de modifier l’échange du dimanche soir pour un retour à l’école le lundi matin (et ainsi éviter l'échange du dimanche), mais madame refuse catégoriquement tout ce qui lui est proposé ou demandé. Nous décidons donc de demander la garde des enfants une semaine sur deux pour éviter justement que madame n’en fasse qu’à sa tête et afin de permettre aux enfants de souffler un peu. Ils expriment souvent leur peur de ne plus pouvoir voir leur père.

 Un mois avant le procès, les enfants nous informent qu’ils déménagent!? Madame refuse de nous donner l’information et c’est finalement notre avocat qui nous confirme la nouvelle et nous apprend que madame déménage à plus de 45 minutes de notre domicile. Coïncidence, tout était en place et rien n’empêchait que nous allions avoir une garde partagée… Ce stratagème de la part de la mère est une tentative ultime d’empêcher le changement vers une garde partagée.

 Après trois jours de procès très difficiles où mon conjoint s’est fait traiter de tous les noms et traîner dans la boue, la juge, contre toute attente, nous a accordé la garde 50/50, malgré le déménagement. Selon la juge, il est moins dommageable pour les enfants de faire 45-60 minutes d’auto pour aller à l’école que d’être privé d’une relation saine avec leur père… Nous étions sous le choc! Elle a vu clair dans le jeu de madame. Elle lui a dit qu'elle doutait de ses capacités à faire preuve de retenue à l’égard de monsieur devant les enfants et qu'elle devait plutôt encourager la relation avec leur père. Elle a même dit que la haine que madame portait à monsieur était plus grande que sa peur, qu’il soit étonnant qu’une personne se disant habitée d’une si grande peur agisse ainsi… Elle a eu des propos d'une rare dureté, comme celui du bienfait pour les enfants de voir leur père, que chaque enfant a le droit de connaître son père biologique, etc.

Une chose positive, la garde est enfin comme elle aurait dû l’être depuis le début. Par contre, le contrôle et la manipulation de madame sur les enfants ne cessent d’augmenter. Pas besoin de vous dire qu’elle n’était pas contente lorsque le verdict est sorti. Elle raconte aux enfants des histoires où mon conjoint aurait été violent avec elle quand ils étaient plus petits et tente de leur faire croire qu’ils étaient même témoins; elle leur jure que c'est la vérité. Elle leur fait une crise de larmes en leur disant que leur père, en ayant obtenu la garde à 50/50, leur vole du temps de qualité, qu'ils vont couler leur année scolaire, car elle seule peut les aider avec leurs devoirs et leçons... À tous les échanges, les enfants arrivent avec de la peine et de la peur dues aux propos de leur mère. Nous devons prendre le temps de les rassurer, de leur dire que tout va bien se passer et que papa ne vole en rien du temps de qualité (au contraire, il pourra enfin s’impliquer dans chacune des sphères de leur éducation de façon égale avec madame).

 Nous avions déjà fait un signalement à la DPJ pour aliénation parentale avant le procès. Un peu après le changement de garde, le signalement a été retenu (pour mauvais traitement psychologique sur les enfants). Nous étions soulagés, car nous espérions que la DPJ puisse aider les enfants et leur offrir du soutien dans cette situation (Un des enfants se renferme et a peur de tout, il ne peut même pas prendre une décision par lui-même de peur de la réaction de sa mère. Il ne veut pas déplaire donc dit et fait ce qui, selon lui, plaira à madame et empêchera tout conflit. Contrairement au deuxième, qui cherche à savoir la vérité absolue, qui exprime clairement être à bout de la situation et qui semble pris avec un poids énorme sur les épaules).

 Petit bémol, dès l’apparition de la DPJ, nous apprenons que madame a enfin un emploi; elle est maintenant intervenante à la DPJ! Quel hasard !

 Aujourd’hui, ça fait plus d’un an que la DPJ est sur le dossier, et puis rien n’a encore été fait dans l’intérêt des enfants. Nous avons demandé qu’ils soient évalués et suivis au besoin, mais madame refuse l’évaluation familiale depuis le début. Nous en sommes à notre 6e intervenant au dossier et chaque fois nous devons repartir du début. Madame gère le dossier à son bon vouloir et les intervenants passent leur temps à gérer madame. Ils sont unanimes : madame doit changer; si elle aime ses enfants, elle devra changer et agir dans leur intérêt. Cependant, la rencontre suivante : les intervenants croient qu'il serait mieux d’acheter la paix avec madame pour calmer le jeu...?! Elle harcèle continuellement les intervenants et nous devons constamment leur expliquer tous nos faits et gestes. Le plus fâchant est que la DPJ nous a clairement dit que si les rôles étaient inversés (en d’autres mots, si madame était un homme) ça ferait longtemps qu’elle n’aurait plus la garde! Mais étant donné que c’est une mère (et selon moi, étant donné que c'est l'une de leurs collègues), c’est plus compliqué… Ils ont les mains liées et ne peuvent rien faire. Ils voient et parlent avec madame pratiquement chaque semaine et même plusieurs fois par semaine, mais les enfants ont été rencontrés seulement 4 fois approximativement en plus d’un an?

 Les enfants vieillissent (le premier a un peu plus de 10 ans et le deuxième, un peu moins de 10 ans). Ils comprennent qu’il y a un gros problème, ils posent de plus en plus de questions et on se fait interdire de parler de quoi que ce soit avec eux. De l'autre côté, personne ne les supporte ou ne les aide dans tout ça… Ils demandent souvent pourquoi la DPJ les suit, ils ne comprennent pas ce qu’ils font et pourquoi ils sont là... Même lorsqu’ils formulent à l’intervenant une demande précise, ils ne sont pas écoutés…

 Ils se font chicaner s’ils osent aller souper chacun leur tour avec leur père pour leur anniversaire. Les enfants se font obliger à tout faire ensemble; si madame apprend qu’un des enfants a fait quelque chose sans l'autre, elle se met en colère.

 Elle intervient chaque fois que nous avons un voyage avec les enfants (voir de la famille au Québec) afin qu’on ne puisse pas partir et ensuite, va dire aux enfants qu’on leur promet toujours des choses qui n’arrivent pas…

 À ce jour, la seule solution, selon les avocats et la DPJ, est de demander la garde complète des enfants. Cela veut dire encore un procès entre 10 000$ et 15 000$, argent que nous n’avons pas. C’est triste de vivre dans un monde où seul l’argent peut aider une situation. Pas d’argent, pas d’aide…

 Le but n’a jamais été de lui enlever les enfants; tout ce que nous voulons c’est la paix lors de notre semaine de garde, qu’elle prenne des décisions en fonction des enfants et non pour son bien-être personnel et qu’elle arrête de jouer dans la tête de tout le monde. Les enfants ont besoin de légèreté et de savoir qu’ils peuvent être bien autant chez leur mère que chez leur père.

 Malheureusement, que l’on demande la garde ou non, nous devrons retourner à la cour d’ici un an, puisqu'il y a des changements qui vont suivre et madame refuse déjà de prendre les décisions d’un commun accord…

 C’est tellement lourd pour toute la famille, elle interfère littéralement dans tout notre quotidien. C’est stressant de lui écrire, c’est stressant lorsque les enfants font une demande, c’est stressant quand la DPJ veut tenter une nouvelle approche, car au final, c’est toujours une perte de temps, d’argent et surtout d’énergie. J’espère sincèrement qu’elle se rendra compte un jour de tout le mal qu’elle fait autour d’elle et du fait qu’elle a réellement besoin d’aide.

 Présentement, les enfants sont logés, nourris et vont à l’école, mais pour le reste, je remets en doute ses capacités maternelles.

 Oui, nous pourrions facilement l’amener en cour pour diffamation également, mais encore une fois, le prix est trop lourd à porter (même si nous savons que nous aurions gain de cause).

 Je sais que tout le monde a ses problèmes et que financièrement, les temps sont difficiles pour tous. Je vous demande, s'il vous est possible, de mettre minimum 1$ lorsque vous lisez notre histoire et si le cœur vous en dit, de la partager.

 Je veux passer le message à tous ceux et celles qui vivent une situation comme la nôtre : vous n’êtes pas seul(e). Nous espérons qu’un jour, le système puisse nous aider sans devoir débourser des milliers et milliers de dollars, simplement pour avoir le droit de faire partie de la vie de nos enfants.

 À toutes les mères qui croient qu’elles valent mieux que les pères (sans raison valable) et se permettent d’empêcher les enfants de bâtir une relation saine avec l’autre parent, dites-vous qu’un jour, vos enfants connaîtront la vérité et finiront par vous en vouloir. Ce jour-là, vous allez regretter d’avoir mis votre énergie dans la méchanceté et la rancune au lieu de profiter de la vie de vos enfants.

 Pour ceux qui côtoient ce genre de personne narcissique, n’entrez pas dans leur jeu et n’encouragez pas cette façon d’agir. Plusieurs personnes vont simplement dire : « madame est comme elle est; il n'y a rien à faire ». C'est en laissant ce genre de comportement aller qu’on crée des monstres.

 Pour ceux qui ont des amis qui demandent de l’aide, écoutez-les. Souvent, un homme qui est victime de violence conjugale va faire rire ses amis et ils lui diront d’acheter la paix et la laisser faire (« T'sais, sont toutes folles! ») Non, au contraire! Se battre pour sa famille ou son couple, ça a des limites. Le manque de respect, la pression psychologique, le vol d’argent et le contrôle social ne devraient jamais faire partie d’une relation saine. Restez à l’affût et encouragez le changement ou la fin de ce genre de relation toxique.

 Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire. C’est un peu décousu, mais au besoin, je peux élaborer.

Le but est simplement de comprendre que mon conjoint ne l’a vraiment pas eu facile, que ce n’est pas terminé, mais que nous souhaiterions vraiment mettre tout ça derrière nous. Le montant qui sera amassé nous permettra de souffler et de pouvoir nous concentrer sur le plus important : les enfants. Merci du fond du cœur à tous ceux et celles qui vont donner, partager ou en parler. Chaque geste compte et je crois que cette histoire peut aller loin.

 En espérant pouvoir redonner et aider à mon tour par la suite <3
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    Maman Ours
    Organisator
    Blainville, QC

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