Repair Jessica Sabogal's Mural
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For first generation Colombian American muralist, Jessica Sabogal, art serves as a haven, a tribute, a creative outlet of adoration and exaltation for women with stories often untold. Her pieces possess a vision of female identity that is revolutionary and powerful, brave and beautiful. By utilizing a spray can, she aims to color her canvas by unraveling stories she once heard, lived, struggled, and loved.
Throughout the years, Sabogal has consistently reinvented what it means to be a female muralist in a male-dominated medium. She has continuously pushed the boundaries as an artist by utilizing her medium for social change, action, and empowerment.
Her mural was completed as a part of Unceded Voices: Anticolonial Street Artists Convergence, a biennial convergence of primarily Indigenous-identified women/2spirit/Queer/[1] and women of color street artists in Tiohtià:ke/Mooniyaang, unceded Haudenosaunee and Anishinabe territories (also known as Montreal).
Her piece has been targeted by vandals on 3 separate occasions since completion last month. With the rental of the paint sprayer, reprinting stencils, lift rental, paint, and graffiti coating the total cost will be around $1,500.
https://decolonizingstreetart.com/
****
Pour la muraliste colombien-américain Jessica Sabogal, immigrante de la première génération, l'art sert de havre, d'hommage, d'exutoire créatif d'adoration et d'exaltation pour les femmes dont les histoires sont souvent inconnues. Ses pièces possèdent une vision de l'identité féminine qui est révolutionnaire et puissante, courageuse et belle. En utilisant la peinture en bombe, elle vise à colorier sa toile en dévoilant des histoires qu'elle a entendues, vécues, luttées et aimées.
Tout au long des années, Sabogal a constamment réinventé ce que cela signifie d'être un muraliste féminin dans un milieu dominé par les hommes. Elle a continuellement poussé les frontières en tant qu'artiste en utilisant son moyen de changement social, d'action et d'autonomisation.
Sa peinture murale a été complétée dans le cadre de «Unceded Voices: Anticolonial Street Artists Convergence», une convergence biennale de femmes qui s'identifient principalement en étant autochtones / bi-sprirituelles / Queer / [1] et femmes de couleurs qui sont des artistes de rue à Tiohtià: ke/Mooniyaang, les territoires non cédées Haudenosaunee et Anishinabe (également connu sous le nom de Montréal).
Son oeuvre a été le cible de vandalisme à 3 occasions distinctes depuis son achèvement le mois dernier. Avec la location du pulvérisateur de peinture, la réimpression de stencils, la location de remorques et le revêtement/pêinture anti graffitis, le coût total sera d'environ 1 500 $.
https://decolonizingstreetart. com/
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Throughout the years, Sabogal has consistently reinvented what it means to be a female muralist in a male-dominated medium. She has continuously pushed the boundaries as an artist by utilizing her medium for social change, action, and empowerment.
Her mural was completed as a part of Unceded Voices: Anticolonial Street Artists Convergence, a biennial convergence of primarily Indigenous-identified women/2spirit/Queer/[1] and women of color street artists in Tiohtià:ke/Mooniyaang, unceded Haudenosaunee and Anishinabe territories (also known as Montreal).
Her piece has been targeted by vandals on 3 separate occasions since completion last month. With the rental of the paint sprayer, reprinting stencils, lift rental, paint, and graffiti coating the total cost will be around $1,500.
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Pour la muraliste colombien-américain Jessica Sabogal, immigrante de la première génération, l'art sert de havre, d'hommage, d'exutoire créatif d'adoration et d'exaltation pour les femmes dont les histoires sont souvent inconnues. Ses pièces possèdent une vision de l'identité féminine qui est révolutionnaire et puissante, courageuse et belle. En utilisant la peinture en bombe, elle vise à colorier sa toile en dévoilant des histoires qu'elle a entendues, vécues, luttées et aimées.
Tout au long des années, Sabogal a constamment réinventé ce que cela signifie d'être un muraliste féminin dans un milieu dominé par les hommes. Elle a continuellement poussé les frontières en tant qu'artiste en utilisant son moyen de changement social, d'action et d'autonomisation.
Sa peinture murale a été complétée dans le cadre de «Unceded Voices: Anticolonial Street Artists Convergence», une convergence biennale de femmes qui s'identifient principalement en étant autochtones / bi-sprirituelles / Queer / [1] et femmes de couleurs qui sont des artistes de rue à Tiohtià: ke/Mooniyaang, les territoires non cédées Haudenosaunee et Anishinabe (également connu sous le nom de Montréal).
Son oeuvre a été le cible de vandalisme à 3 occasions distinctes depuis son achèvement le mois dernier. Avec la location du pulvérisateur de peinture, la réimpression de stencils, la location de remorques et le revêtement/pêinture anti graffitis, le coût total sera d'environ 1 500 $.
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Organizer and beneficiary
Lindsay Anne
Organizer
Montréal, QC
Camille Larivée
Beneficiary
