Aidons Marie-Ève et Jayke pour guérir Marie-Ève!

Bonjour, je m'appelle Suzanne et je collecte des fonds pour ma belle-fille et mon petits fils afin d'alléger le stress financier de ma belle-fille dû à tous ses traitements d'oncologie.

 

Pour vous mettre en contexte, depuis plusieurs années le malheur s’acharne sur mon fils et ma belle-fille. Tout a commencé en janvier 2018 lorsqu’ils ont perdu Jayden mon petit-fils né prématurément. Par la suite au grand bonheur de tous, Marie-Ève est tombée enceinte rapidement,

la grossesse ne fût pas de tout repos; plusieurs hospitalisations, dont la dernière fût de 28 semaines jusqu’à l’accouchement à 35 semaine.

 

Mon fils et ma belle-fille étaient aux anges avec la venue du petit Jayke, mais malheureusement en janvier 2020 mon fils a reçu diagnostic de cancer un lymphome de Burkitt stade 4, il a alors été transféré au centre hospitalier Royal-Victoria à Montréal, car l’Hôpital de Gatineau ne pouvait rien faire pour lui. Il a alors fait une trollée de traitement de chimiothérapie, ensuite de la radiothérapie et pour finir il avait tout fait les prétests pour avoir une autogreffe de cellule souche. Nous étions à 1 semaine de la greffe quand la pire nouvelle fût annoncé par l’oncologue de mon fils : le cancer avait atteint ses reins rien n’était plus possible pour lui, il devait envisager les soins palliatifs.

 

Mon fils et ma belle-fille sont revenus à Gatineau afin que mon fils reçoive des soins palliatifs à domicile. Sa conjointe Marie-Ève s’est occupée de lui nuit et jour en plus de s’occuper de leur garçon de 2 ans ½, elle a tout fait pour lui pour lui rendre ses derniers moments le plus agréables et plaisants possible. Malheureusement mon fils a reçu ses ailes d’anges le 6 avril 2021. Trois ans, trois mois, 3 jours après le décès de son fils, il est allé le rejoindre. C’est à ce moment que Marie-Ève est devenue veuve à 33 ans et Jayke orphelin à 2 ans 1/2.

 

Par la suite Marie-Ève a subi en juin 2021 un bypass gastrique à l’hôpital Lachine à Montréal, puis un Scan a dû être fait puisque des complications sont survenues avec le bypass, les médecins ont alors découvert sur le scan une masse sur son sein gauche. Une requête stat a été envoyée à l’hôpital Royal-Victoria de Montréal pout une mammographie, échographie du sein et une biopsie. Même pas une semaine après que la requête fut envoyée, Marie-Ève se rendait à Montréal pour faire les tests. Deux semaines plus tard le verdict tomba, ma belle-fille était atteinte d’un Carcinome canalaire invasif de grade 3 stade 2 triple positif.

 

S’enchaina alors une série de 4 traitements au 3 semaines de chimiothérapie très agressive, par la suite une série de 15 traitements de chimiothérapie chaque semaine. Elle a ensuite eu une mastectomie complète du sein gauche avec insertion d’un « tissues expander » afin de facilité la reconstruction. Malheureusement plusieurs complications sont survenues après la mastectomie (plusieurs infections) et par la suite son corps a rejeté le « tissues expander » et Marie-Ève a dû être opérée d’urgence à Montréal pour le retirer.

 

Lors de la mastectomie, les deux biopsies sont revenues sans traces de cancer, Marie-Ève était si contente enfin pu de cancer elle pouvait enfin avoir l’espoir de voir son fils grandir et qu’il ne soit pas orphelin de ses deux parents. Mais le chirurgien oncologue Dr. Sarkis Meterissian a apporté le cas de Marie-Ève devant le « tumor board » afin d’évaluer si elle devait faire de la radiothérapie vu son jeune âge et l’agressivité de son cancer. Tout le monde a fortement suggéré qu’elle face de la radiothérapie à raison de 15 sessions une fois par jour pour 3 semaines. Ma belle-fille doit alors se loger/nourrir à Montréal le temps de ses traitements et revenir les week-ends pour voir son fils. Marie-Ève a déjà fait les pré-tests pour la radiothérapie et recevra un appel du centre du cancer des cèdres pour le début de ses traitements d’ici 2 à 3 semaine.

 

C’est pour cela que je vous sollicite afin d’amasser des sous pour que ma belle-fille puisse se loger et se nourrir à Montréal pendant ses traitements, et lui enlever le stress de trouver l’argent nécessaire pour les dépenses reliées à son séjour pour la radiothérapie et pour les dépenses reliées au reste de ses traitement de chimiothérapie.

 

Merci du fond du cœur.

 

Suzanne Veillette