Aider Patrick Chartrand

AIDER PATICK CHARTRAND

PATRICK CHARTRAND EST BIEN CONNU POUR SON IMPLICATION DANS LE MONDE DES CHEVAUX.

Patrick exerce le métier de râpeur de dents, communément appelé de dentiste équin.

Comme tout propriétaire de chevaux le sait, ce métier consiste à râper, à l’aide de limes manuelles, les dents des chevaux pour en éliminer les aspérités dentaires. Le but étant d’améliorer la mastication du cheval et sa tolérance au mors.

Il exerce ce métier depuis de plus 25 ans au vu et au su des vétérinaires et de toute la communauté équestre québécoise. Il est reconnu comme étant l’un des meilleurs dans son domaine et ses nombreux clients satisfaits peuvent en témoigner.

Malgré la pénurie de médecins vétérinaires et la rupture de service vétérinaire qui sévit dans plusieurs régions du Québec, l’Ordre des médecins vétérinaires poursuit Patrick en alléguant qu’il pratiquerait illégalement un geste réservé aux médecins vétérinaires. Un bel exemple de corporatisme mal avisé.

La Cour du Québec a tranchée : Le râpage des dents de chevaux ne devrait pas être un acte réservé aux vétérinaires au sens de l’article 7 de la Loi sur la médecine vétérinaire.

Malheureusement, ce même tribunal est tenu, en raison d’une règle de droit, de respecter une jurisprudence de la Cour supérieure. Cette jurisprudence concluait exactement le contraire dans une autre affaire, à savoir que le râpage de dents de chevaux serait un acte réservé aux vétérinaires.

La bataille de Patrick face à l’attaque de l’ordre des vétérinaires n’est donc pas terminée, elle dure déjà depuis plusieurs années et devra malheureusement se poursuivre. Vous vous doutez bien que Patrick est épuisé financièrement et psychologiquement par ce combat qui s’avère très inégal. Il se retrouve seul dans un véritable combat de style, David contre Goliath. Sa cause devra maintenant être plaidée devant la COUR SUPÉRIEURE et éventuellement devant la COUR D’APPEL.

Vous qui avez a cœur le bien-être de vos chevaux, PARTICIPER au GOFUNDME pour aider Patrick.

Si l’on abandonne Patrick, en tant que propriétaires de chevaux, nous risquons de devoir obligatoirement faire appel à un vétérinaire afin d’obtenir leur avis pour toute condition impliquant le bien-être de nos montures. Nous n’aurons plus le droit de faire appel aux thérapeutes de notre choix. Au final, comme il en coutera plus cher aux propriétaires et ce sont les chevaux qui écoperont.

POUR LE BIEN-ÊTRE DE NOS CHEVAUX, SOUTENONS PATRICK. TOUTE CONTRIBUTION EST BIENVENUE.