J'ai besoin de mécènes pour mon roman
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bonjour a vous inconnu ou amis.
Je cherche cruellement des mécènes pour un roman que j'ai écris et que je veux faire paraître.
Je cherche cruellement des mécènes pour un roman que j'ai écris et que je veux faire paraître.
N'ayant pas 2 000 dollars, je me cherche des amis, des connaissances, des amoureux de la littérature hors-norme, qui veulent que ce projet voir le jour.
Le hic étant qu'il ne cadre pas dans un genre littéraire prédéfini, je dois passer par l'auto édition ce qui coûte cher.
Que ce soit 5 $ ou 25 ou 50$... Pour moi l'important c'est que ce projet qui mijote depuis 10 ans arrive à terme et que les âmes perdus qui me lisent se sentent un peu moins seule.
vous êtes curieux de ce fameux livre dont je vends les mérites, et bien n'attendez plus, je vous fournis un extrait non-édité.
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Le hic étant qu'il ne cadre pas dans un genre littéraire prédéfini, je dois passer par l'auto édition ce qui coûte cher.
Que ce soit 5 $ ou 25 ou 50$... Pour moi l'important c'est que ce projet qui mijote depuis 10 ans arrive à terme et que les âmes perdus qui me lisent se sentent un peu moins seule.
vous êtes curieux de ce fameux livre dont je vends les mérites, et bien n'attendez plus, je vous fournis un extrait non-édité.
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La quatrième de couverture:
Dépersonnalisation
La première fois que ca m’est arrivé, je n’ai pas porté attention spécial et je n’ai pas cru bon en parler.
J’étais en secondaire 1, j’avais 12 ans.
C’était une journée tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Et surtout, je n’avais rien de particulier en tête. Et soudain je me suis sentie vide. Mais un vide sans fond. J’ai senti que soudain je n’étais plus moi et que je regardais un film de ma vie.
Tout était trop bruyant et mon corps ne m’appartenait plus. Je me sentais de trop partout et je ne sentais plus mon corps. J’étais un état étrange, seconde. De flottement. Rien ne semblait réel et je me trouvais dans un rêve, que dis-je, un cauchemar éveillé. Et rien ne semblait faire de sens. Comme si une tentative de communication avec les autres élèves auraient confirmé mon irréalité.
Pour citer Marie-Sissi Labreche, « Je suis borderline. J'ai un problème de limites. Je ne fais pas la différence entre l'extérieur et l'intérieur. C'est à cause de ma peau qui est à l’envers. C'est à cause de mes nerfs qui sont à fleur de peau. Tout le monde peut voir à l'intérieur de moi, j'ai l'impression. Je suis transparente. D'ailleurs, tellement transparente qu'il faut que je crie pour qu'on me voit. »
J’ai passé une semaine de cet état bizarre à ne rien comprendre et à me demander si tout cela était un rêve et si ça serait un état permanant. Combiné cet état de non-sensation de soi-même à la dépression et ca donne des résultats surprenants. Surtout déprimant! C’est à ce moment que j’ai réellement pensé sérieusement à m’ouvrir le corps et remettre ma peau à l’endroit.
Mais la phase a passé et je l’ai oubliée pendant un moment.
C’est quand ces épisodes sont devenus hebdomadaires, que j’ai commencé à me dire que ce n’était pas normal. Que la dépression n’amenait pas CA…
J’ai cherché longtemps, avant de trouver mes réponses.
Tout faire pour se sentir à nouveau.
Dépersonnalisation
La première fois que ca m’est arrivé, je n’ai pas porté attention spécial et je n’ai pas cru bon en parler.
J’étais en secondaire 1, j’avais 12 ans.
C’était une journée tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Et surtout, je n’avais rien de particulier en tête. Et soudain je me suis sentie vide. Mais un vide sans fond. J’ai senti que soudain je n’étais plus moi et que je regardais un film de ma vie.
Tout était trop bruyant et mon corps ne m’appartenait plus. Je me sentais de trop partout et je ne sentais plus mon corps. J’étais un état étrange, seconde. De flottement. Rien ne semblait réel et je me trouvais dans un rêve, que dis-je, un cauchemar éveillé. Et rien ne semblait faire de sens. Comme si une tentative de communication avec les autres élèves auraient confirmé mon irréalité.
Pour citer Marie-Sissi Labreche, « Je suis borderline. J'ai un problème de limites. Je ne fais pas la différence entre l'extérieur et l'intérieur. C'est à cause de ma peau qui est à l’envers. C'est à cause de mes nerfs qui sont à fleur de peau. Tout le monde peut voir à l'intérieur de moi, j'ai l'impression. Je suis transparente. D'ailleurs, tellement transparente qu'il faut que je crie pour qu'on me voit. »
J’ai passé une semaine de cet état bizarre à ne rien comprendre et à me demander si tout cela était un rêve et si ça serait un état permanant. Combiné cet état de non-sensation de soi-même à la dépression et ca donne des résultats surprenants. Surtout déprimant! C’est à ce moment que j’ai réellement pensé sérieusement à m’ouvrir le corps et remettre ma peau à l’endroit.
Mais la phase a passé et je l’ai oubliée pendant un moment.
C’est quand ces épisodes sont devenus hebdomadaires, que j’ai commencé à me dire que ce n’était pas normal. Que la dépression n’amenait pas CA…
J’ai cherché longtemps, avant de trouver mes réponses.
Tout faire pour se sentir à nouveau.
Organizer
Daphné Han Harvey
Organizer
Montréal, QC
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