Aidez-nous à aider Jean-Michel
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Notre fils, petit-fils, neveu, oncle, parrain, cousin, ami, celui que nous appelons affectueusement Jean-Mi, a besoin d’aide.
Âgé de seulement 25 ans, notre Jean-Mi se bat depuis déjà trois ans contre un cancer rare : le sarcome à cellules claires. Cette forme de cancer est tellement rare qu’il y a tout au plus une dizaine de personnes qui en sont atteintes au Québec et les quelques traitements disponibles ici n’ont pas pu aider Jean-Mi. Il ne reste maintenant que des cliniques et médecins spécialisés offrant des traitements expérimentaux (donc pas couverts par les assurances) à Toronto, aux États-Unis, au Mexique ou en Europe qui peuvent aider Jean-Mi.
Nous, sa famille et ses amis, lui donnons tout le soutien que nous pouvons, mais là, les besoins pour que Jean-Mi puisse espérer guérir, dépassent nos ressources.
Aidez-nous à aider Jean-Mi afin qu’on puisse, ensemble, lui offrir la possibilité de trouver la guérison, de vivre sa vie et de réaliser ses ambitions et ses rêves.
=================
Tout a commencé en 2014 alors que Jean-Michel, jeune homme vaillant, débrouillard, enjoué, filait un beau bonheur avec son amoureuse Fannie et débutait sa vie professionnelle chez Hydro Québec. Une petite bosse dans l’aine—un ganglion—devient subitement douloureuse. Il est décidé d’en faire l’excision pour l’analyser. Le diagnostic tombe : c’est un cancer, le sarcome à cellules claires. Ce cancer très rare affecte généralement les jeunes adultes et s’attaque habituellement aux tissus mous comme les muscles, les tendons, etc.
Deux mois après le diagnostic et quelques rencontres avec des spécialistes, une chirurgie s’impose pour enlever tous les ganglions dans la région de l’aine gauche. Avant l’opération, on prélève et congèle le sperme de Jean-Michel puisque lui et Fannie chérissent le rêve d’être un jour parents. S’en suivent des traitements de radiothérapie pour tuer le plus de cellules cancéreuses avant de subir une autre opération pour enlever le muscle de sa cuisse gauche puis d’y greffer de la peau en remplacement de celle qui était contaminée.
Après ces interventions et traitements, Jean-Michel est suivi de près par les spécialistes et fait le trajet de Baie St-Paul à Québec, tous les trois mois, pour des tacos à l’Hôtel Dieu de Québec afin de s’assurer que le cancer ne progresse pas. Dès le premier taco, on constate qu’il n’y a plus de traces de cancer dans l’aine, mais on remarque deux petites taches sur ses poumons. Au prochain taco de contrôle, les taches ont grossis. On décide de faire une biopsie pour s’assurer que ce ne sont pas des métastases... Ce le sont! Le cancer progresse!
Qui dit maladie rare, dit aussi traitements rares et peu connus. On commence un de ces rares traitements, une chimiothérapie par comprimés, dont les effets secondaires sont difficiles : nausées, diarrhées, décoloration de la pilosité, etc. Jean-Michel endure tout ça en vrai combattant, avec Fannie toujours à ses côtés; ils sont prêts à tout pour le débarrasser de cette maladie! Le coût de cette chimiothérapie est faramineux, mais heureusement, ses assurances en paient une bonne partie. Au prochain taco, on note une diminution des métastases. Enfin une bonne nouvelle! On continu donc avec cette chimiothérapie et tout ce qui vient avec. La bonne nouvelle est toutefois de courte durée... Les tacos qui suivent sont décevants : les métastases grossissent et commencent à se propager. Au printemps 2017, on décide d’arrêter ce traitement, qui ne fait malheureusement plus effet.
Les spécialistes expliquent qu’il ne reste qu’un traitement expérimental comme option possible au Québec. Il y a tout un protocole à suivre et il faut y être accepté. Jean-Michel fait les démarches et est accepté au Jewish Hospital de Montréal. Il embarque dans ce nouveau traitement, mais sans succès. Il ne reste donc plus de traitements possibles ici au Québec, pas même expérimentaux...
Les spécialistes encouragent Jean-Michel à garder espoir, à continuer de se battre, mais l’informent qu’il doit se tourner vers d’autres provinces, voir d’autres pays pour espérer une guérison. Un autre traitement expérimental est possible, cette fois à Toronto et d’autres encore le sont aussi, au Mexique, en Europe, mais ces options sont chères, très chères... Les traitements expérimentaux ne sont pas couverts par les assurances et les frais de voyagement et de subsistance le sont encore moins.
C’est pourquoi nous demandons votre aide. Aidez-nous à aider Jean-Michel à s’offrir ces traitements, à s’offrir la possibilité d’une guérison, la possibilité de vivre sa vie.
Tous les dons, si minimes soient-ils, aideront et, d’avance, nous vous en remercions du plus profond de nos cœurs.
Âgé de seulement 25 ans, notre Jean-Mi se bat depuis déjà trois ans contre un cancer rare : le sarcome à cellules claires. Cette forme de cancer est tellement rare qu’il y a tout au plus une dizaine de personnes qui en sont atteintes au Québec et les quelques traitements disponibles ici n’ont pas pu aider Jean-Mi. Il ne reste maintenant que des cliniques et médecins spécialisés offrant des traitements expérimentaux (donc pas couverts par les assurances) à Toronto, aux États-Unis, au Mexique ou en Europe qui peuvent aider Jean-Mi.
Nous, sa famille et ses amis, lui donnons tout le soutien que nous pouvons, mais là, les besoins pour que Jean-Mi puisse espérer guérir, dépassent nos ressources.
Aidez-nous à aider Jean-Mi afin qu’on puisse, ensemble, lui offrir la possibilité de trouver la guérison, de vivre sa vie et de réaliser ses ambitions et ses rêves.
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Tout a commencé en 2014 alors que Jean-Michel, jeune homme vaillant, débrouillard, enjoué, filait un beau bonheur avec son amoureuse Fannie et débutait sa vie professionnelle chez Hydro Québec. Une petite bosse dans l’aine—un ganglion—devient subitement douloureuse. Il est décidé d’en faire l’excision pour l’analyser. Le diagnostic tombe : c’est un cancer, le sarcome à cellules claires. Ce cancer très rare affecte généralement les jeunes adultes et s’attaque habituellement aux tissus mous comme les muscles, les tendons, etc.
Deux mois après le diagnostic et quelques rencontres avec des spécialistes, une chirurgie s’impose pour enlever tous les ganglions dans la région de l’aine gauche. Avant l’opération, on prélève et congèle le sperme de Jean-Michel puisque lui et Fannie chérissent le rêve d’être un jour parents. S’en suivent des traitements de radiothérapie pour tuer le plus de cellules cancéreuses avant de subir une autre opération pour enlever le muscle de sa cuisse gauche puis d’y greffer de la peau en remplacement de celle qui était contaminée.
Après ces interventions et traitements, Jean-Michel est suivi de près par les spécialistes et fait le trajet de Baie St-Paul à Québec, tous les trois mois, pour des tacos à l’Hôtel Dieu de Québec afin de s’assurer que le cancer ne progresse pas. Dès le premier taco, on constate qu’il n’y a plus de traces de cancer dans l’aine, mais on remarque deux petites taches sur ses poumons. Au prochain taco de contrôle, les taches ont grossis. On décide de faire une biopsie pour s’assurer que ce ne sont pas des métastases... Ce le sont! Le cancer progresse!
Qui dit maladie rare, dit aussi traitements rares et peu connus. On commence un de ces rares traitements, une chimiothérapie par comprimés, dont les effets secondaires sont difficiles : nausées, diarrhées, décoloration de la pilosité, etc. Jean-Michel endure tout ça en vrai combattant, avec Fannie toujours à ses côtés; ils sont prêts à tout pour le débarrasser de cette maladie! Le coût de cette chimiothérapie est faramineux, mais heureusement, ses assurances en paient une bonne partie. Au prochain taco, on note une diminution des métastases. Enfin une bonne nouvelle! On continu donc avec cette chimiothérapie et tout ce qui vient avec. La bonne nouvelle est toutefois de courte durée... Les tacos qui suivent sont décevants : les métastases grossissent et commencent à se propager. Au printemps 2017, on décide d’arrêter ce traitement, qui ne fait malheureusement plus effet.
Les spécialistes expliquent qu’il ne reste qu’un traitement expérimental comme option possible au Québec. Il y a tout un protocole à suivre et il faut y être accepté. Jean-Michel fait les démarches et est accepté au Jewish Hospital de Montréal. Il embarque dans ce nouveau traitement, mais sans succès. Il ne reste donc plus de traitements possibles ici au Québec, pas même expérimentaux...
Les spécialistes encouragent Jean-Michel à garder espoir, à continuer de se battre, mais l’informent qu’il doit se tourner vers d’autres provinces, voir d’autres pays pour espérer une guérison. Un autre traitement expérimental est possible, cette fois à Toronto et d’autres encore le sont aussi, au Mexique, en Europe, mais ces options sont chères, très chères... Les traitements expérimentaux ne sont pas couverts par les assurances et les frais de voyagement et de subsistance le sont encore moins.
C’est pourquoi nous demandons votre aide. Aidez-nous à aider Jean-Michel à s’offrir ces traitements, à s’offrir la possibilité d’une guérison, la possibilité de vivre sa vie.
Tous les dons, si minimes soient-ils, aideront et, d’avance, nous vous en remercions du plus profond de nos cœurs.
Organizer and beneficiary
Manon Lavoie
Organizer
Baie-Saint-Paul, QC
Jean-Michel Lavoie
Beneficiary
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