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On part soutenir des autochtones en Amazonie !

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LIMIT S’APPRÊTE À ALLER EN AMAZONIE BRÉSILIENNE POUR SOUTENIR LES PEUPLES AUTOCHTONES QUI PROTÈGENT LA FORÊT FACE À LA DÉFORESTATION, À LA DESTRUCTION DES ÉCOSYSTÈMES ET AUX ASSASSINATS" - ET ON A BESOIN DE TOI POUR S’Y RENDRE !




Kipili et Vinz de Limit, Audrey de Jiboiana


1. Le réchauffement climatique.

Grâce à toi, Kipili et moi - Vinz - allons pouvoir mettre une pierre à l’édifice de la lutte contre le réchauffement climatique, la perte de biodiversité et donner un moyen d’expression à des peuples autochtones, avec notre partenaire l'Association Jiboiana qui oeuvre avec eux sur le terrain. Ces peuples vivent sous la pression de gouvernements et multinationales, complices d’une déforestation et d’une course aux ressources à grande échelle entraînant une disparition de ces peuples et de leurs cultures.



Photo : Guilherme Meneghelli - Floresta TV

Car, avec Limit , j’ai pu découvrir certaines de ces solutions pour la planète, dans un avenir qui ne se basent pas sur des technologies aux résultats incertains mais sur des projets de terrain qui allient écologie, humanitaire et préservation de la biodiversité.


Photo - pépinière construite par Jiboiana avec les Huni Kuin


Ainsi mes nombreuses conversations avec les scientifiques sur LIMIT m’ont amené à comprendre que la clé était avant tout humaine.

Et Kipili et moi avons l’occasion de pouvoir partir en Amazonie brésilienne chez deux peuples autochtones, les Huni Kuin et les Shanenawá… et participer à des programmes autour de la reforestation, l’autonomie alimentaire et l’eau potable avec Jiboiana . Eh oui, chez Limit on prend la caméra pour raconter des histoires et sensibiliser aux enjeux de notre monde… mais aussi les gants pour travailler la Terre !


Photo - pousses pour la reforestation : Guilherme Meneghelli - Floresta TV


C’est pour cela que je lance notre première campagne de crowdfunding : préparer une série de reportages et vidéos sur le terrain en Amazonie ainsi que réaliser des projets sur place avec les communautés. Pour être à la fois témoin et acteur du changement et partage du savoir.


2. Les peuples autochtones, gardiens de la Terre

J’ai donc rencontré l’Association Jiboiana à Bruxelles en novembre 2021, à l’occasion de la tournée qu’elle avait organisée avec 5 leaders et activistes autochtones d’Amazonie, venus de plusieurs peuples différents, après leur passage à Paris et Glasgow pour la COP26. Cette rencontre m’a profondément marqué : de par leurs discours, leurs chants et leurs habits traditionnels, leurs coiffes de plumes.


Photo - les 5 leaders venus avec Jiboiana en octobre 2021 : Little Shao

J’ai donc pris contact avec l’asso, et ai découvert tout l’univers de cette cause que je ne connaissais pas encore :

Les peuples autochtones ne représentent que 5% de la population mondiale, mais protègent plus de 80% de la biodiversité (chiffres ONU), vivant sur les terres les plus préservées de la déforestation, des incendies, de l’orpaillage illégal, des projets miniers et pétroliers. En Amazonie, ce n’est que 25% de la biodiversité terrestre qui prospère. Rien que ces chiffres nous montrent l’absurdité de nos philosophies, qui séparent l’humanité de la Nature. Ils prouvent que travailler avec ces peuples, c’est travailler pour l’entièreté du vivant. Ces peuples sont des solutions à tous nos problèmes.



Photo : Guilherme Meneghelli - Floresta TV


Jiboiana réalise des projets comme la construction de pépinières et de puits pour l’eau potable, la plantation de milliers d’arbres - qui apporteront l’autonomie alimentaire pour les familles en plus de capter du carbone dans l’avenir - la préservation culturelle, et la venue de leaders autochtones en Europe.


Photo - Puits pour l'eau potable chez les Huni Kuin : Nicolas Cortes


Ainsi, au regard de la politique destructrice menée par le gouvernement brésilien, j’ai voulu m’intéresser de plus près à ce qui se passe en Amazonie.

Depuis l’élection de l’actuel président brésilien Bolsonaro, la déforestation, les incendies, les assassinats d’activistes environnementaux ont augmenté de manière désastreuse. Or, ces ravages sont souvent causés illégalement sur les terres autochtones ; ces gardiennes et gardiens de la forêt sont donc constamment persécutés. Or, de nombreuses études scientifiques l’ont démontré : lorsque des langues et cultures autochtones meurent, lorsque des peuples sont chassés de leurs terres, la Nature finit par dépérir.

Or, les deux villages autochtones où nous allons rester sont comme le fameux village gaulois d’Astérix - les images de drone montrent que leurs terres sont majoritairement boisées, alors qu’autour de cette barrière verte, tout a été déforesté. Ils sont la dernière barrière verte avant la disparition complète de cette partie de la forêt.


Photo : Guilherme Meneghelli - Floresta TV


3. Notre appel pour la forêt

Ainsi, je fais appel à vous aujourd’hui pour pouvoir réaliser ce rêve - aller en Amazonie, rencontrer des protecteurs de la Terre, transmettre leur témoignage - et également pour dévoiler, à travers le documentaire que je réaliserai l’année prochaine à mon retour, le cauchemar auquel ces peuples font face. Mais nous désirons aller plus loin, et c’est pour ça que nous partons avec Jiboiana : pour montrer les initiatives silencieuses qui permettent de maintenir la forêt debout.


Photo - les bénévoles en Amazonie avec Jiboiana, 2021 : Nicolas Cortes


S’il s’agit d’une première rencontre de terrain, pour préparer le grand documentaire à réaliser l’année prochaine, je le répète : nous partons également participer aux projets solidaires de l’association, avec la construction des puits et des pépinières. Depuis que j’ai découvert ce que donnait un voyage en avion, je ne l’ai pris que pour réaliser des documentaires ayant du sens comme avec Damso à Kinshasa ou Fairtrade.
Et même si cela reste une épine dans le pied, c’est une occasion spéciale, liée à la préservation de la nature qui se présente à nous.

Enfin, ce départ pour l’Amazonie permettra également de préparer la venue, avec Jiboiana là encore, de 6 leaders et activistes autochtones en octobre, durant l’entre deux-tours des élections brésiliennes, pour leur tournée entre Paris et Bruxelles afin de sensibiliser les Européens et lever des fonds pour concrétiser des projets sur place avec les communautés. Fonds qui serviront des projets qu’ils décident eux-mêmes de mettre en place.


Photo - femmes Huni Kuin en Amazonie : Nicolas Cortes


4. Budget

Pour ce voyage, voici notre budget à atteindre avec la campagne pour deux personnes :
- Les billets d’avion : 4.000 euros (2.000x2)
- La participation sur place (logement, nourriture, logistique) : 1.200 (600x2)
- Si nous arrivons à atteindre plus, le surplus sera offert à Jiboiana pour les pépinières et les puits.

Cette participation de Limit sur le terrain est importante, car nous anticipons les élections brésiliennes et la venue des leaders en octobre en France et Belgique.
De plus en plus, nous parlons de l’Amazonie dans les médias ; mais peu encore abordent le sujet de celles et ceux qui la protègent face au gouvernement et aux puissants lobbies. Ce sera l’occasion de prendre des vidéos, des photos, et vous relayer ce matériel à notre retour en Belgique !


Photo : Nicolas Cortes


Merci beaucoup d’avance pour votre soutien, ensemble nous pouvons changer le monde !

Vinz et Kipili
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Organizer

KIPILI VINZ
Organizer
Bruxelles, BRU, Belgium

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