Maison Artemisia Boromo Burkina Faso
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Bonjour à toutes et à tous
Nous sommes des habitants de la ville de Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso.
Comme de nombreuses régions de la planète, nous sommes chaque année touchés par des épidémies de paludisme (aussi appelé malaria), qui est la plus grande maladie infectieuse au monde.
Le paludisme est transmis par certains moustiques et cause de fortes fièvres ainsi qu’un affaiblissement du système immunitaire.
Il touche des centaines de millions de personnes et fait des centaines de milliers de victimes, principalement en Afrique.
Cette maladie est particulièrement dangereuse pour les enfants, surtout ceux dont les familles n’ont pas les moyens d’acheter les médicaments des laboratoires pharmaceutiques qui restent encore très chers.
On estime qu’un enfant africain pauvre meurt toutes les trois minutes à cause du paludisme.
Pourtant, une solution simple, efficace, sans effet secondaire pour la santé, peu coûteuse, créatrice d’emploi et respectueuse de l’environnement existe : c’est la culture et la consommation d’Artemisia Afra et Annua.
Ces plantes, originaires de Chine pour l’Artemisia Annua et d’Éthiopie pour l’Artemisia Afra, sont connues et utilisées depuis des millénaires.
C’est à partir de l’artemisinine extraite de l’Artemisia Annua que l’on fabrique aujourd’hui la plupart des antipaludéens.
Étonnamment, alors qu’elle ne représente aucun danger pour la santé et qu’il est désormais prouvé que la tisane de feuilles et de tiges séchées est plus efficace que les médicaments de laboratoires (voir les études menées par le docteur Hermine Zime-Diawara et son équipe au Bénin ainsi que les travaux du docteur Jérôme Munyangi et son équipe en République Démocratique du Congo), cette solution n’est toujours pas encouragée par l’OMS et la commercialisation d’Artemisia est même interdite en France.
Sur le terrain, la réalité est bien différente : la demande et l’intérêt pour l’Artemisia explose en Afrique et dans certains pays occidentaux.
Pour le moment, les artemisiculteurs sont encore trop peu nombreux pour satisfaire la demande, alors qu’il suffit de seulement dix euros pour traiter préventivement une personne contre le paludisme pendant une année entière avec ce remède.
Nous organisons donc une collecte pour financer la création d’une Maison de l’Artemisia à Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso.
Ce lieu sera à la fois un centre de formation à l’artemisiculture, une pépinière et une unité de production d’Artemisia. Il accompagnera la création d’emplois tels que cultivatrice, cultivateur, pépiniériste, herboriste, commerçante et commerçant d’Artemisia.
Cette Maison de l’Artemisia soutiendra les agriculteurs locaux désireux de produire de l’Artemisia et les aidera à commercialiser leurs excédents de production sur le marché local, national et international.
La structure adoptera un modèle d’économie symbiotique et de permaculture afin d’aussi permettre le développement d’engrais, d’herbicides et de pesticides naturels, respectueux de la flore, de la faune, du cultivateur et du consommateur.
Nous avons déjà acheté une parcelle d’un hectare et commencé à creuser un puits. Les fonds collectés permettront donc directement l’achat de semences, d’outillage et la construction de bâtiments d’accueil, de stockage, de séchage et de conditionnement de la plante.
Les constructions seront réalisées en technique « Voûte Nubienne », des bâtiments bioclimatiques répondants à nos attentes d’harmonie et de symbiose avec le vivant.
Nous sommes accompagnés par l’association La Maison de l’Artemisia qui milite dans le monde entier pour la reconnaissance et la diffusion du meilleur remède connu contre le paludisme : la tisane d’Artemisia Annua et Afra, à la fois préventive, curative, antivirale et aussi efficace contre de multiples autres maladies telles que la bilharziose, l’ulcère, les fièvres chroniques, les mycoses, la maladie de Lyme ou les règles douloureuses.
Des tests sont aujourd’hui menés aux États-Unis à l’Université Washington de Seattle pour déterminer l’efficacité de l’Artemisia contre le cancer du poumon et le cancer du sein.
Et 2019 et 2020, elle a aussi été utilisée pour lutter contre le Coronavirus en Asie et en Afrique, notamment en Chine et à Madagascar.
Nous avons choisi de réaliser cette collecte pendant les mois de juillet et d’août comme un symbole de résistance et de refus de résignation face au fléau du paludisme.
Cette période, appelée l’hivernage, est le cœur de la saison des pluies en Afrique de l’Ouest et le pic de l’épidémie de la maladie au Burkina Faso.
Durant les mois de mai et juin de cette année, grâce aux semences fournies par La Maison de l’Artemisia, nous avons pu créer une dizaine de pépinières dans cinq localités alentour et distribuer des centaines de jeunes plants à une soixantaine de familles de paysans.
Tous ensemble, allons plus loin ! Créons une nouvelle Maison de l’Artemisia à Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso et faisons un pas de plus vers l’éradication de la première maladie infectieuse au monde.
Nous vous donnons rendez-vous sur le site GOFUNDME pour participer à la collecte.
Le nom de la collecte est : « Maison Artemisia Boromo Burkina Faso ».
Suivez nos activités et trouvez le lien de la collecte sur notre page Facebook : « Maison de l’Artemisia, Boromo Burkina Faso ».
Aidez nous à nous passer de votre aide !
N’hésitez pas à nous adresser vos questions et suggestions ainsi qu’à faire vos propres recherches sur le sujet. De nombreux documentaires sont disponibles, notamment sur YouTube.
Soyez les bienvenus à Boromo pour devenir vous aussi artemisicultrice et artemisiculteur...
Merci de votre attention et un grand merci d’avance pour votre soutien !
À bientôt
Nous sommes des habitants de la ville de Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso.
Comme de nombreuses régions de la planète, nous sommes chaque année touchés par des épidémies de paludisme (aussi appelé malaria), qui est la plus grande maladie infectieuse au monde.
Le paludisme est transmis par certains moustiques et cause de fortes fièvres ainsi qu’un affaiblissement du système immunitaire.
Il touche des centaines de millions de personnes et fait des centaines de milliers de victimes, principalement en Afrique.
Cette maladie est particulièrement dangereuse pour les enfants, surtout ceux dont les familles n’ont pas les moyens d’acheter les médicaments des laboratoires pharmaceutiques qui restent encore très chers.
On estime qu’un enfant africain pauvre meurt toutes les trois minutes à cause du paludisme.
Pourtant, une solution simple, efficace, sans effet secondaire pour la santé, peu coûteuse, créatrice d’emploi et respectueuse de l’environnement existe : c’est la culture et la consommation d’Artemisia Afra et Annua.
Ces plantes, originaires de Chine pour l’Artemisia Annua et d’Éthiopie pour l’Artemisia Afra, sont connues et utilisées depuis des millénaires.
C’est à partir de l’artemisinine extraite de l’Artemisia Annua que l’on fabrique aujourd’hui la plupart des antipaludéens.
Étonnamment, alors qu’elle ne représente aucun danger pour la santé et qu’il est désormais prouvé que la tisane de feuilles et de tiges séchées est plus efficace que les médicaments de laboratoires (voir les études menées par le docteur Hermine Zime-Diawara et son équipe au Bénin ainsi que les travaux du docteur Jérôme Munyangi et son équipe en République Démocratique du Congo), cette solution n’est toujours pas encouragée par l’OMS et la commercialisation d’Artemisia est même interdite en France.
Sur le terrain, la réalité est bien différente : la demande et l’intérêt pour l’Artemisia explose en Afrique et dans certains pays occidentaux.
Pour le moment, les artemisiculteurs sont encore trop peu nombreux pour satisfaire la demande, alors qu’il suffit de seulement dix euros pour traiter préventivement une personne contre le paludisme pendant une année entière avec ce remède.
Nous organisons donc une collecte pour financer la création d’une Maison de l’Artemisia à Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso.
Ce lieu sera à la fois un centre de formation à l’artemisiculture, une pépinière et une unité de production d’Artemisia. Il accompagnera la création d’emplois tels que cultivatrice, cultivateur, pépiniériste, herboriste, commerçante et commerçant d’Artemisia.
Cette Maison de l’Artemisia soutiendra les agriculteurs locaux désireux de produire de l’Artemisia et les aidera à commercialiser leurs excédents de production sur le marché local, national et international.
La structure adoptera un modèle d’économie symbiotique et de permaculture afin d’aussi permettre le développement d’engrais, d’herbicides et de pesticides naturels, respectueux de la flore, de la faune, du cultivateur et du consommateur.
Nous avons déjà acheté une parcelle d’un hectare et commencé à creuser un puits. Les fonds collectés permettront donc directement l’achat de semences, d’outillage et la construction de bâtiments d’accueil, de stockage, de séchage et de conditionnement de la plante.
Les constructions seront réalisées en technique « Voûte Nubienne », des bâtiments bioclimatiques répondants à nos attentes d’harmonie et de symbiose avec le vivant.
Nous sommes accompagnés par l’association La Maison de l’Artemisia qui milite dans le monde entier pour la reconnaissance et la diffusion du meilleur remède connu contre le paludisme : la tisane d’Artemisia Annua et Afra, à la fois préventive, curative, antivirale et aussi efficace contre de multiples autres maladies telles que la bilharziose, l’ulcère, les fièvres chroniques, les mycoses, la maladie de Lyme ou les règles douloureuses.
Des tests sont aujourd’hui menés aux États-Unis à l’Université Washington de Seattle pour déterminer l’efficacité de l’Artemisia contre le cancer du poumon et le cancer du sein.
Et 2019 et 2020, elle a aussi été utilisée pour lutter contre le Coronavirus en Asie et en Afrique, notamment en Chine et à Madagascar.
Nous avons choisi de réaliser cette collecte pendant les mois de juillet et d’août comme un symbole de résistance et de refus de résignation face au fléau du paludisme.
Cette période, appelée l’hivernage, est le cœur de la saison des pluies en Afrique de l’Ouest et le pic de l’épidémie de la maladie au Burkina Faso.
Durant les mois de mai et juin de cette année, grâce aux semences fournies par La Maison de l’Artemisia, nous avons pu créer une dizaine de pépinières dans cinq localités alentour et distribuer des centaines de jeunes plants à une soixantaine de familles de paysans.
Tous ensemble, allons plus loin ! Créons une nouvelle Maison de l’Artemisia à Boromo dans la région de la Boucle du Mouhoun au Burkina Faso et faisons un pas de plus vers l’éradication de la première maladie infectieuse au monde.
Nous vous donnons rendez-vous sur le site GOFUNDME pour participer à la collecte.
Le nom de la collecte est : « Maison Artemisia Boromo Burkina Faso ».
Suivez nos activités et trouvez le lien de la collecte sur notre page Facebook : « Maison de l’Artemisia, Boromo Burkina Faso ».
Aidez nous à nous passer de votre aide !
N’hésitez pas à nous adresser vos questions et suggestions ainsi qu’à faire vos propres recherches sur le sujet. De nombreux documentaires sont disponibles, notamment sur YouTube.
Soyez les bienvenus à Boromo pour devenir vous aussi artemisicultrice et artemisiculteur...
Merci de votre attention et un grand merci d’avance pour votre soutien !
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Organizer
Bilal Granier
Organizer
Saint-Maurice-Navacelles
